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S’il est difficile de devenir bilingue, il l’est encore plus de le rester ! Dans cet épisode, on aborde l’apprentissage des langues secondes à tous les âges, mais aussi la survie d’une langue minoritaire.
Diffusion : Savoir média
Production : Pamplemousse Média
*Cette description ainsi que les images tirées de l’épisode sont gracieusement fournies par Pamplemousse média.
« Apprendre une langue est une entreprise longue qui demande vigilance, persévérance et efforts. »
Quelles sont les différences qui distinguent la langue, le langage et la parole ? Est-il plus facile d’apprendre une seconde langue au cours de l’enfance ou de l’âge adulte ? Doit-on éviter l’exposition à la langue maternelle lors de l’apprentissage d’une langue seconde ? Comment se passe le processus de francisation pour les personnes issues de l’immigration ? Quels sont les avantages et les désavantages d’apprendre une langue avec l’aide d’une application ? Est-ce que parler plusieurs langues peut influencer notre perception du monde ? Quels sont les avantages insoupçonnés de l’apprentissage de plusieurs langues ?
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« Quand je suis arrivé, quand les personnes parlaient avec moi en français, je disais : non, non, non, le français ! À ces moments, je voulais courir et me cacher ! Mais quand j’ai commencé à étudier le français, je me suis dit : Non, tu dois, tu peux, tu dois, c’est important. […] Le français, c’est une très belle langue, mais il y a beaucoup de défis. La prononciation, c’est très différent de l’espagnol. Par exemple, la lettre e est très difficile pour moi. », témoigne Carlos Sanabria.
« L’école, c’est souvent le premier contact avec la société québécoise. C’est un endroit où ils vont se faire de nouvelles relations. Les élèves s’attachent beaucoup à l’école, aux intervenants, au milieu. […] Ça leur donne un objectif quotidien. […] On sait qu’apprendre une langue, ça prend des années. Souvent, les étudiants sont avec nous un an, parfois moins, parfois un an et demi. Moi, je répète souvent que les vrais examens ne sont pas à l’école, ils sont dans la vie, dans les situations de la vie. », explique Anick Legault.
L’orthophoniste aide les personnes de tous âges présentant des difficultés de parole, de langage, de communication, d'apprentissage et de déglutition (action de mastiquer ou d’avaler) afin de favoriser leur autonomie, leur bien-être et leur intégration dans leurs milieux de vie.
L’orthophoniste travaille auprès de clientèles variées ayant des difficultés d’origines diverses qui peuvent mener à des troubles plus sérieux.
Malgré la croyance populaire, la dyslexie ne se résume pas à confondre les b avec les d ou les p avec les q, et les troubles d’apprentissage ne se résument pas à la dyslexie non plus. Au Québec, c’est 1 élève sur 5 qui vit avec un trouble d’apprentissage... et la dyslexie n’en est qu’un parmi tant d’autres.
Qu'ont en commun Aristote, Albert Einstein, Marilyn Monroe et Luc De Larochellière ? Le bégaiement, ce trouble de la parole qui touche environ quatre fois plus de garçons que de filles. Transitoire dans certains cas, persistant dans d’autres, le bégaiement demeure un trouble mystérieux malgré les avancées scientifiques.
« Maman ? », « Papa ? », « Non ! ». Source d’anxiété quand il tarde à arriver, le premier mot chez l’enfant suscite l’émerveillement de son entourage et une mystérieuse progression dans l’acquisition de connaissances et de structures cérébrales.